Au Centre Pokémon.

Bonjour à tous !

A part Lougaroc Crépusculaire... Rien sur Ultra-Soleil et Ultra-Lune. Sauf aujourd'hui !

Spoiler:

A la clé :
- De nouveaux héros
- Le Super Bracelet Z
- De nouveaux lieux et bâtiments
- Histoire centrée autour de Necrozma
- Jaquettes des jeux révélées
- …

Nombre de messages : 721 Date d'inscription : 21/11/2011

La journée avait été paisible mais pluvieuse aujourd'hui. En tout cas, ce matin, la rosée matinale s'était prolongée en trombes d'eau par la suite jusqu'à quasiment midi, remplissant donc de beaucoup les nappes phréatiques mais aussi les égouts. D'ailleurs, ces derniers étaient surveillés de près en raison des problèmes survenus dans ceux de Jadielle. En effet, l'ampleur du problème résultait du laxisme des autorités sanitaires et elles avaient encaissé de nombreuses remontrances. Du coup, maintenant, elle surveillaient de près toutes les villes pour que cela ne se reproduise pas.

Certainement en raison des fortes pluies de la matinée, l'affluence de la journée s'était révélée amoindrie. Après tout, les dresseurs les moins courageux n'étaient probablement pas sortis le temps que les précipitations se calment et n'avaient donc pas entraîné leur équipe, du coup, pas besoin de soins pour le moment. Joëlle avait donc du temps libre qu'elle passa à chouchouter un peu Leveinard qui se donnait vraiment à fond ces derniers temps.

Un jeune homme entra alors dans le bâtiment. Un dresseur qu'elle avait déjà vu il y a peu, elle se souvenait de lui et surtout de sa non-politesse. Elle espérait qu'il serait plus courtois aujourd'hui, sous peine de réitérer son exploit de s'en aller sans lui parler.

Il arriva et parla à Joëlle tout en déposant ses orbes sur le comptoir en et demandant des soins. Apparemment, cette fois-ci, il ne s'en irait pas et l'infirmière lui fit donc un sourire avant de s'occuper de lui.

Finalement, la machine fit son travail et les orbes furent retirées car les habitants étaient soignés. Elle continua de sourire en les lui rendant.

- Vous fallait-il autre chose ?

Au centre pokémon.
Libre

Quelque seconde après avoir donner mes pokéball à l'infirmière, elle revint vers le comptoir pour déposer les pokéball, maintenant avec une équipe en pleine forme. Je les pris alors dans mes mains avant de les ranger sur ma ceinture dans l'ordre que j'aimais bien les placer normalement.

-Je vous remercie infirmière Joelle. Non, se sera tout, merci!

Je me dirigea alors vers la sortie. Je devais retourner à Argenta maintenant. Mes recherches m'y attendaient avec impatience. Alors je sortis du bâtiment pour me diriger directement vers la route quatre. Je devais aussi capturer deux pokémon pour accomplir la mission du professeur Chen.

Suite : [Libre]Après la tempête de sable, voila l'Orage...

(c) Never-Utopia

« AU CENTRE POKÉMON. »

- RP Libre -

Enfin, après quelques jours d’entrainement intensif sur la route trois, j’étais enfin de retour à Azuria. J’avais en plus réussi à avoir une canne à pêche, et cette ville semblait l’endroit idéal pour pouvoir trouver tous types de pokémon aquatique. Je pourrais enfin continuer mes recherches sur les pokémon aquatiques avant d’envoyer les recherches accumulées à ma chère mère. Le temps s’était gâté depuis la dernière fois que j’étais venu ici. Les pluies tombaient sans cesse et quelques orages grondaient dans les alentours. Les feuilles d’arbres commençaient à jaunir pour finalement tomber au sol. L’hiver approchait à grands pas, les lacs deviendraient gelés et je ne pourrais plus pêchers. Je devais en profiter tant qu’il en était possible. Je me dirigeai vers le centre pokémon pour y entrer. Comme dans à peu près tous les centres, il y avait beaucoup de gens qui y étaient présents. Sans me préoccuper d’eux, je me dirigeais vers le comptoir où j’y déposai toutes mes pokéball.

-Bonjour, pouvez-vous soigner mon équipe s’il vous plait, ils en ont vraiment besoin ?

C O D A G E P A R @G A K I. S U R E P IC O D E

La nuit était tombée sur la magnifique ville d'Azuria. Sous l'effet des lumières artificielles dégagées par les réverbères et l'intérieur des bâtiments, la rivière entourant la cité semblait briller de mille feux. À cela s'ajoutait les étoiles qui scintillaient dans le ciel et la présence du clair de lune qui faisait qu'on y voyait presque comme en plein jour.

L'infirmière Joëlle, malheureusement, ne pouvait pas profiter de ce magnifique spectacle, coincée dans son Centre Pokémon, mais elle se l'imaginait parfaitement, songeant aux balades qu'elle pourrait faire une fois qu'elle aurait achevé son service. Mais pour l'heure, il y avait encore des clients dont il fallait s'occuper, et c'était bien ce qu'elle comptait faire. Après s'être occupée de trois dresseurs à la suite, un jeune homme blond à l'air plutôt costaud fit son entrée dans l'édifice et demanda des soins pour ses Pokémon.

Aussitôt, Joëlle s'empara de ses orbes, les plaça dans la machine régénératrice pendant quelques minutes, avant de les retirer lorsque les soins furent terminés. Elle rendit ensuite les Balls à leur dresseur.

- Autre chose ?

« AU CENTRE POKÉMON. »

- RP Libre -

Après quelques secondes d’attente de retour de mes pokéball, je les rangeai sur les crochets de ma ceinture dans l’ordre habituelle. L’infirmière me posa l’ultime question que chaque sœur avait l’habitude de poser quand elles nous rendaient nos pokéball. Je la regardai délicatement avec mes yeux bleus profond.

-Non, ce sera tout pour le moment. Merci pour les soins. Je dois me diriger vers la route six!

Je placerai alors correctement mon sac à dos sur mon épaule pour éviter qu’il tombe puis je me dirigeai vers la sortie du centre pokémon. La nuit avait tombé sur la ville et les lampadaires scintillaient de mille feux. Dommage que les nuages sombres de l’automne gâchaient cette soirée. La route six se trouvait tout prêt. Je me dirigeai lentement, mais surement vers elle alors.

Suite : Dernière marche (Libre)

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« AU CENTRE POKÉMON. »

- RP Libre -

La ville était encore sous la pluie en pleine nuit, mais je n’avais pas le temps d’observer le paysage. Le Zorua se tenait sur la route huit et habituellement, un troupeau ne reste pas très longtemps sur une route. Il disparait après quelques temps et ne revient pas avant un très long moment. J’étais très intriguer par ce Zorua et j’en voulais un absolument. Je tournais à gauche puis encore à gauche puis finalement à droite. J’avais traversé par mal de lieu de la ville. Je passais même devant le centre pokémon à un certain moment de ma marche rapide, ou plutôt de ma course rapide.

Le temps pressait et je priais quasiment les dieux de me laisser la chance de capturer un pokémon Zorua. Après quelques minutes de course intensive, je pus remarquer les portes de la ville. Un panneau indiquait route six. Cette fois-ci, je ne pouvais pas me tromper, c’était bel et bien la bonne route à prendre. La pêche devait attendre à plus tard. Je traversai alors les grandes portes qui menaient à la route six de Kanto. Je sorti ma carte pour être sur du chemin à prendre. La tempête n’aidait pas car elle pouvait tremper ma carte qui était fait en papier. Je devais également être prudent sur cette route que je n’avais jamais visitée avant.

Suite : Automne sur la route 6

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Centre pokémon

« Omnes Vulnerant Ultima Necat »
Libre
May sortit de l'arène, légèrement morose. Elle rangea son badge avec l'autre et se mit en devoir d'appeler Jason, celui-ci devait se sentir atrocement mal après la fuite de Willi et la sienne... Elle s'en voulait aussi de l'avoir laissé seul... Même si elle savait pertinemment qu'elle s'en serai voulu encore plus si elle était resté avec lui, sans même essayer de rattraper Willi... Elle lui tapa donc un message, et rangea son pokématos. La jeune femme trouvait tout de même dommage de gâcher l'euphorie de la victoire a cause de ses problèmes personnels. Elle essayerai de faire une petite fête avec ses pokémons. Pensant à cela, elle entra dans une boutique ou elle acheta de quoi faire un bon réveillon, aussi bien pour elle que pour ses protégés. Elle se dirigea ensuite vers le centre dans lequel elle entra. Willi passerai obligatoirement par là et elle l'y attendrait. Mais avant tout elle devait soigner ses petits chéris. Vanir avait été exceptionnel! La jeune femme devrait le récompenser comme il se doit. Maïlys s'approcha alors du comptoir et, saluant l'infirmière Joëlle, elle demanda:
-Pourriez vous soigner mes pokémons s'il vous plait? Ils sont un peu fatigués après le match contre Ondine. Et ça ne vous dérange pas que je reste un peu? J'attends un ami.
CODAGE PAR MADOUCE SUR EPICODE

"Mon arrivée dans la ville, je la faisais un peu a la mode conquérant, comme si le badge était aquis. Enfin, après tout, Wind m'avait bien dit qu'il me pensait capable de récupérer le second badge. Normalement, ce ne devrait pas être trop compliqué, étant donné que j'avais entrainé un pokémon plante. Cependant, je trouvais que c'était un peu de la triche d'utiliser un pokémon avantagé au type. Et puis Rattatac n'avait pas énormément combattu ces temps-ci, ce serait donc un bon moyen de le retester ses capacités prometteuses et par la même sa place dans l'équipe."
"Azuria était en fête, et on ne pouvait le louper. Les gens semblaient contents de bientôt passer à la nouvelle année, les amis buvaient ensembles, les couples se baladaient en se tenant la main...d'un air un peu blasé je me dirigeai vers le centre pokémon. J'avais hâte que la chaleur se répande dans mon coeur et dans celui de mes pokémons. Je pénétrai ainsi discrétement dans le centre pokémon. J'en ressortis en une fraction de seconde."
"Maïlys y était. J'avais peur que je sois au point de ne pas pouvoir lui parler. Elle était venue me chercher, ou alors elle continuait son voyage le plus sereinement du monde. Dans les deux cas, je devais choisir un plan B. Aller chez le professeur."
"Mais comment donner un petit coup de pouce a Scorvol qui était épuisé ? Réfléchissant dans le froid, je me décidai a lui donner un peu d'une potion que j'avais dans mon sac."
"Dix petites minutes plus tard, Scorvol était reparti en volant avec moi de Azuria, vers une destination que je ne connaissais que trop bien."

Le Centre Pokémon était plus bondé que jamais. La plupart des touristes et des dresseurs étaient venus fêter la nouvelle année dans l'édifice au toit rouge, trinquant à leur santé (mais sans boissons alcoolisées) ! L'infirmière Joëlle avait donc au moins trois fois plus de travail qu'à l'habitude, le bâtiment se remplissant de plus en plus à chaque minute qui passait. Mais cela ne la dérangeait pas ; elle était contrainte de demeurer au Centre pour le passage à la nouvelle année, avoir du monde qui mettait de l'ambiance n'était donc pas une si mauvaise chose.

Une jeune fille aux cheveux rouges s'approcha du comptoir lorsque son tour fut venu et demanda des soins pour ses Pokémon, comme tout le monde d'ailleurs. Elle venait apparemment d'affronter Ondine, la Championne de la ville, mais impossible de savoir si elle avait remporté la victoire ou non. Tandis que Joëlle s'empara de ses Poké Balls et les plaça dans la machine régénératrice, la dresseuse lui demanda si elle pouvait rester un peu plus longtemps, ce qui fit rire l'infirmière.

- Eh bien, comme tu le vois, chacun peut entrer et sortir du Centre Pokémon comme il l'entend, et y demeurer autant qu'il le souhaite. Ah, tiens, voilà tes Pokémon.

Elle retira les orbes de la machine puis tendit un plateau sur lequel elles étaient soigneusement disposées.

Centre pokémon

« Omnes Vulnerant Ultima Necat »
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May eut à peine le temps de répondre à l'infirmière qu'elle avait raison et que de tout de manière son ami était arrivé puis de reprendre ses pokéballs, que Willi avait franchit la porte du centre. Il fuyait encore. La jeune femme eut de mal à retenir ses larmes de couler. Pourquoi bon sang? Il la détestait tant que ça? Elle voulait bien admettre qu'elle avait fait une très grosse bêtise, mais quand même... Il n'allait pas refuser de la voire? Peut être qu'il croyait qu'elle le détestait? Peut être qu'il ne voulait pas finir à l'hosto, qu'il pensait vraiment que lui, son ami d'enfance, elle le rejetait... Ce n'était pas parce que Jason était rentré dans sa vie qu'elle allait pour autant arrêter de le considérer comme son ami! Il aurait dut le savoir quand même! Oui, mais quand on a mal, on oublie vite les choses les plus frappante... Elle même en avait fait l'expérience... Et maintenant elle devait se rattraper à tout prix! La jeune femme espérait que Jason avait bien reçut son message et ne commettrait pas les mêmes erreurs qu'elle. En pensant à cela, elle sortit son pokématos tout en se maudissant de ne pas y avoir penser avant. Ce n'était certes pas la méthode la plus recommandable, mais Willi ne lui laissait pas le choix! Elle tapa donc un message poignant à son adresse. Enfin, elle sortit les pokémons, leur passa la nourriture et les félicita tout en grignotant un sucre d'orge. Les petits morfales furent vite rassasiés, et, heureux, ils reprirent la route en compagnie de leur dresseuse.
CODAGE PAR MADOUCE SUR EPICODE

Jason arriva au centre pokémon, le pauvre Granivol atteint de pokéludisme dans les bras. Il n'entra cependant pas, car il y avait du monde, et chacun avait au moins un pokémon de sortit, et souvent de blessé, car c'est pour cette raison qu'ils étaient ici... S'il entrait avec un pokémon malade, il risquait de contaminer tous les autres pokémon. Il interpella alors un passant, lui expliquant la délicate situation. Rapidement, il lui demanda d'aller chercher l'infirmière à l'intérieur. Elle saurait quoi faire, au moins... Jason aurait voulu entrer par lui-même, mais il ne voulait pas laisser le pokémon dehors tout seul, car il aurait pu ramper jusqu'à d'autres pokémon et les faire tomber malade. A chaque fois qu'il rencontrais un cas de pokéludisme, il ne savait pas vraiment comment réagir... Les infirmières devraient peut-être mettre à disposition une salle recluse, à l'arrière du centre, où les gens pourraient venir avec es pokémon malades et prévenir l'infirmière sans semer la panique parmi tout le monde... Le jeune chercheur attendit donc là, dehors, attendant des nouvelles de l'infirmière ou du jeune homme qu'il avait envoyé à l'intérieur du centre.

Modération:

Le Centre Pokemon était rempli, et l'infirmière Joëlle avait donc énormément de travail. Depuis des heures, cela ne désemplissait pas, et elle soignait Pokemon après Pokemon. Heureusement, jusqu'à présent, un seul d'entre eux avait demandé des soins plus poussés que ceux que la machine donnait, et ce n'était pas un Pokemon atteint du Pokéludisme. Leveinard faisait de son mieux pour l'aider, mais il devait aussi s'occuper des Pokemon malades en chambre, ce qui faisait qu'elle se trouvait plutôt toute seule derrière le comptoir.

Soudain, un homme entra dans le Centre Pokemon, l'air plutôt paniqué, annonçant que quelqu'un se trouvait dehors avec un Granivol malade. Elle se mordit la lèvre inférieure, regardant les dresseurs et les Pokemon autour d'elle, se disant que c'était une bonne chose qu'il ne soit pas rentré si le Pokemon était atteint du Pokéludisme. En quelques secondes, elle récupéra un masque et des gants, en jeta une paire au Leveinard qui venait de revenir de sa tournée, et lui demanda d'aller chercher un brancard et une cloche de conditionnement. Puis, elle s'adressa aux dresseurs qui attendaient, sans vraiment comprendre.

- On m'a apporté un Pokemon malade dehors. Je suis désolée, mais plus de soins pour l'instant. Vous pouvez attendre. Je... Je confie à Louise la clef du distributeur. Vous pourrez prendre des boissons chaudes gratuites.

Elle fit un sourire forcé à son amie Louise qui était justement de passage dans le Centre Pokemon, puis sortit en courant, Leveinard sur ses pieds. Elle s'approcha du jeune homme qui l'attendait puis, en le reconnaissant, ne put s'empêcher de faire une remarque.

- Encore toi ?

Cependant, elle ne pouvait en dire plus, puisqu'une urgence l'attendait. Délicatement, elle prit le Granivol des bras du jeune homme, et l'observa. C'était bien un cas de Pokéludisme. Ne pouvant cacher sa colère envers le fléau, elle jura une fois ou deux, avant de déposer le Pokemon délicatement sur la civière, et le recouvrir de la cloche de verre qui servirait de conditionnement pour éviter que les autres Pokemon soient malade. Avec un signe de tête en remerciement au jeune homme, elle se dépécha de retourner à l'intérieur du Centre pour s'occuper du nouveau malade...

Votre pokématos sonne

Message de May:

Centre pokémon

« Omnes Vulnerant Ultima Necat »
Libre
Jason était bien là! May se sentait vraiment heureuse tout d'en coup! Elle allait pouvoir lui parler, le serrer dans ses bras! Cette pensée formulée, elle rougit. La jeune femme n'arrivait pas à penser comme une personne en couple. Elle n'avait aucun problème pour faire des câlins à des amis, ou des personnes qu'elle appréciait, mais c'était juste pour montrer son amitié, il n'y avait rien de plus... Pas comme avec Jason. Il y avait quelque chose de plus. La jeune femme rougit encore une fois et se rapprocha de Jason. Il était en pleine discussion avec l'infirmière Joëlle, bien que se trouvant bizarrement au dehors du centre pokémon. C'était assez étrange. L'infirmière prit un granivol que Jason portait jusqu'alors et rentra dans le centre en le portant. Un pokémon malade? Surement... Ils devenaient de plus en plus courant. Maïlys se rapprocha discrètement derrière le scientifique, et exécuta une petite prise de karaté, le collant au mur. Elle le regarda alors dans les yeux et lui sourit en relâchant sa prise.
-Coucou, tu as bien reçut mon message à ce que je vois. ça ne te dérange pas qu'on rentre dans le centre? Murtagh et Arya ont besoin de soin. Et puis j'ai plein de choses à te dire.
Sur ce, sans attendre l'avis du jeune homme, elle rentra dans le centre.
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Le centre était vide. Pas de trace de Jason. Le cœur de la jeune fille se serra. Elle attendait depuis longtemps déjà. Il aurait dut être là, avec elle. Pour la consoler, lui parler, lui dire que tout s’arrangerait. Mais il n'était pas là... C'était anormal... Enfin... Peut être pas tant que ça.... Il faisait noir dehors. Noir et froid. May ne se faisait plus d'illusion. Il ne servait à rien d'attendre plus longtemps.... Pourtant elle ne se leva pas. Restant assise à regarder l'extérieur du centre, perdu dans ses pensées. Après une affluence certaine de personne effrayés par un nouveau cas de pokéludisme, le vide qui entourait Maïlys était reposant. Elle aurait dut soigner ses pokémons depuis longtemps au lieu d'attendre sans rien faire. Mais pour la première fois elle ne portait pas la même attention à ses pokémons. Au bout d'un certain temps elle se leva cependant, résignée. Elle sortit les diverses pokéballs de son sac. Seuls Murtagh et Arya avaient besoins de soins. La jeune femme réprima un soupir. C'était Jason qui lui avait offert Arya... Rendu mélancolique par les récents évènements la jeune femme se dirigea vers le comptoir de l’infirmière Joëlle le visage sombre.
-Bonjour. Pourriez vous apporter des soins à ces pokémons s'il vous plait?
La jeune femme posa les pokéballs et ajouta l'air songeur.
-Sauriez vous où je pourrai trouver des pokémons de type eau assez près d'ici? J'ai croisée des marills sur la route 5 mais savez vous si il y a d'autre pokémons de ce type dans les environs?

L'hiver n'était pas la meilleure saison de l'année pour les activités majeures de la région et de la ville. L'arène tournait au ralenti, plus personne n'avait besoin de se rafraîchir dans la piscine d'Ondine. Aussi, le temps mauvais rendait l'entraînement difficile, et Joëlle devait parfois, même souvent, avoir recours au sang froid pour s'occuper des cas graves et se contrôler face aux dresseurs mal élevés qui ne respectaient ni leurs compagnons, ni même l'infirmière qui sortaient ces bêtes de situations parfois délicates. Fort heureusement, pour contrer et anticiper ces gêneurs, des groupes d'agents très gentils et aimables passaient et mettaient dehors les éléments perturbateurs.

Mais dans cette masse parfois confuse des gens qui passaient au centre pokémon pour les soins ou pour prendre simplement un peu de repos, il y avait des gens mélancoliques, qui pensant surement a cet hiver interminable ou a autre chose, regardaient videment dehors et restaient ici sans rien faire. Une jeune fille aux cheveux rouge pétants était de ceux là. Elle finit cependant pas accéder au comptoir et demander d'une part le soin de pokémons, et aussi des localisations de pokémons eau. Tandis que les soins s'effectuaient, l'infirmière répondit :

- En effet, on trouve quelques Marill sur la route 5, certains possèdent par ailleurs une force assez impressionnante. Mais de mémoire, une canne a pêche est la seule solution pour trouver des pokémons eau d'un autre genre, un peu partout sur le littoral de la région. J'ai également entendu parler d'une sorte d'île contenant des pokémons eau rares, mais je ne peux vous en dire plus.

Une fois que les soins furent terminés, Joëlle reposa les pokéballs sur le comptoir et vit l'air assombri de la jeune fille. Ne souhaitant pas s'immiscer dans des problèmes a caractère surement personnel, elle demanda simplement :

- Souhaitez vous autre chose ?

Toujours aussi serviable et aimable, l'infirmière Joëlle soigna ses pokémons et répondit à ses question. Maïlys lui répondit amicalement et la remercia avant de reprendre ces pokéballs. Ainsi donc, on pouvait trouver facilement des pokémons grâce à la pêche... Malheureusement la jeune fille n'avais aucune idée de l'endroit où l'on pouvait se procurer de quoi pêcher.... C'était fâcheux... May n'avait aucune envie de retourner sur la route 5, les pokémons étaient bien trop coriaces... La route 4 serai surement bien plus pratique pour l'entrainement, bien que l'on y trouve aucun pokémon eau. La jeune femme ramassa ses affaires et sortit. Le froid la laissa un instant interdite. Puis, après une courte pause elle reprit la route. Les écouteurs enfoncés dans les oreilles, sous la neige tombant doucement, elle se dirigea vers la route 4. Ses pensées vagabondaient au rythme de la musique. Des chanson japonaises. Le fait de ne pas comprendre les paroles aidait la jeune fille à se détacher de ce qui l'entourait. A réfléchir. Les évènements récents méritaient d'être passé en revue. Elle n'en voulait plus à personne. Ni à Willi qui l'ignorait délibérément, ni à Jason qui la laissait tombé, ni même à elle même. Si ils ne voulaient plus la voir c'était leur problème après tout... Avec un pincement au cœur, la jeune femme repensa à son premier baiser. Mais elle l'écarta de ses pensées. Si Jason voulait encore la voire, il la contacterai, de même pour Willi. Mais la demande ne viendrait plus d'elle. Elle devait apprendre de ces erreurs. Et la première leçon était: Ne rien attendre des autres. De tout de façon elle n'en avait pas besoin. Son but théorique était d'obtenir tous les badges. Eh bien elle les obtiendrais. Jusqu'à ce qu'elle se trouve un vrai but. Tout le reste ne valait pas la peine qu'on y prête attention.

Le centre pokémon était un peu plus animé que lorsque la jeune fille l'avait quitté. Il y avait un peu de queue devant le comptoir de l'infirmière aussi Maïlys prit le temps de mettre Murtagh dans son PC. Quand elle se retourna vers le comptoir il ne restait plus qu'une personne dans la file. Le petit piafabec toujours dans ses bras, et sous les regards inquisiteurs des autres dresseurs, elle se plaça derrière une jeune fille qui faisait soigner un pokémon venant surement de la région de Kalos car inconnu de Maïlys. Il avait une forme humanoïde mais était de toute évidence de type plante, au vu de sa couleur verte et de la grosse fleure rouge posée sur sa tête. C'était un pokémon très élégant que May aurait été ravi de posséder. Aller à Kalos serai un beau projet qui lui permettrait surement de rencontrer de tel pokémons. La dresseuse de l'énigmatique pokémon plante s'étant éloignée, Maïlys s'approcha du comptoir et y déposa le piafabec lançant un regard entendu à l'infirmière. Elle fouilla un instant dans son sac et posa aussi ses pokéballs en demandant poliment.
-Pourriez vous vérifier aussi l'état de santé de mes pokémons et les soigner si besoin s'il vous plait?

L'infirmière Joëlle d'Azuria avait beaucoup de travail aujourd'hui, et c'est pour cette raison qu'elle n'avait pas repéré la jeune fille aux cheveux rouges qui portait un Pokemon malade dans les bras. Ce n'est que lorsqu'elle arriva au comptoir, ayant fait la queue, que la belle aux cheveux roses s'en rendit compte, et sa colère fut explosive. Mais avant tout, il fallait éviter toute contamination.

- Rentrez tous vos Pokemon dans vos Pokeballs ! C'est une urgence ! Alerte à la contamination ! Rendez vous tous à Carmin sur Mer pour faire vérifier l'état de vos compagnons !

Puis, elle se retourna vers la gamine qui avait le Piafabec dans les bras, ne tenant pas compte de la panique qui s'était propagée derrière elle à cause de ses mots, et commença à crier.

- Vous êtes inconsciente ? Stupide ? Garder ce Pokemon malade dans vos bras et parader dans le Centre Pokemon alors que de nombreux Pokemon sont présents, et certains très faibles ? Je n'ai pas de mots pour décrire les personnes comme vous tant vous me dégoutez. A cause de vous, je serais obligée de fermer mon Centre pour décontamination !

Rapidement, elle appela Leveinard, qui arriva en courant, un masque sur le visage pour éviter de se faire contaminer. A la demande de l'infirmière, celui-ci s'occupa rapidement des orbes de la jeune fille, les plaçant dans la machine tout en commençant la décontamination. Pendant ce temps, l'infirmière avait enfilé ses gants et mis un masque, et avait récupéré le Piafabec qu'elle était en train de soigner dans une salle à part.

Une fois les soins effectués, le petit Pokemon rose rendit les orbes à leur dresseuse, puis la poussa dehors gentiment, fermant à double tour les portes de l'établissement.

Maïlys ne dit rien et baissa les yeux. Elle avait tort et l'infirmière avait raison, c'était tout. Elle avait vraiment été idiote pour le coup... Des pokémons d'autres dresseurs allaient peut être être contaminé et mourir par sa faute. Pour s'empêcher de pleurer la jeune fille enfonça profondément ses ongles dans son bras. C'était une technique qui marchait bien. Elle déplaçait la douleur et permettait de ne pas fondre en larme. Il était bien plus facile de résister à une douleur physique q'a une douleur mentale. May sentit quelque chose de poisseux le long de son bras. Mince. Elle y était allé trop fort... Quelques gouttes de sang tombèrent s'écoulèrent sur sa main avant de finir leur course sur le pantalon de la jeune fille. Elle relâcha la pression. Le leveinard revient avec ses pokéballs et la poussa dehors. May remarqua les regards noirs des autres dresseurs. Elle n'y répondit pas. Ils avaient raison après tout. Maintenant tous les dresseurs étaient hors du centre pokémon, dans le froid. Maïlys laissa couler une larme coupable, et fit mine de s'en aller. Un garçon de fort gabarit lui bloqua le passage. La jeune fille leva les yeux.
-Alors comme ça ça existe les gens aussi débile! T'es complètement dingue toi! Et tu t'excuse même pas en plus! Raclure! lui dit-il
May ne répondit pas. Ça ne ferait qu'empirer les choses. Elle essaya de contourner le garçon. Il l'en empêcha d'un violent coup de poing au visage. Surprise, la jeune fille n'avait pas eut le temps de parer et se retrouvait à terre, le nez en sang.
-Répond quand on t'cause!
Ignorant la douleur elle se releva et essuya le sang avec sa manche. Des gens c'étaient attroupés autour d'eux mais étaient étrangement silencieux. Seuls quelques encouragement en faveur du garçon se faisaient entendre. May compris qu'elle avait intérêt à partir le plus vite possible, ce gars, bien qu'ayant raison quant à sa conduite stupide, n'en était pas moins dangereux. Gardant son sang froid, elle fit une nouvelle tentative de fuite. Le fou lui balança son bras dans les cotes, mais, cette fois préparée, la jeune fille resta sur ses pieds et décocha un crochet droit à son adversaire. Profitant de la surprise May passa derrière lui, le poussa dans le dos avec le pied, puis sortit son couteau et se dirigea vers la sortie de la ville. La foule s'écarta sur son passage. Maintenant c'était sur, elle serai cataloguée comme folle dans cette ville. Aucune importance. De tout de façon May n'aimait pas les villes d'eau.

Il venait finalement d'arriver dans une nouvelle ville bien plus merveilleuse que les derniers côtés architecturent et beauté. En effet, cette ville semblait tellement agréable que Kratos pourrait pratiquement décider d'emménager dans ce genre d'endroit. La vie y semblait joyeuse et le temps toujours magnifique dans cette ville. Le soleil brillait sans trop aussi être caché par les nuages puisqu'il n'y en avait presque pas. Les gens discutaient joyeusement dans les rues sans trop se soucier des problèmes du monde. Kratos avait beau être pressé de trouver le centre pokémon de la ville, il ne pouvait pas s'empêcher de visiter un peu au moins les lieux comme un touriste.

Après avoir visité pendant un bon gros dix minutes, il trouva finalement la localisation et du centre et du magasin d'outils et d'objet pokémon en tous genres. Il put se dire de faire un tour après avoir soigné son panda. Il avait fait assez d'économie pour pouvoir au moins se reflouer un peu en objet de soins et autres. En entrant dans le centre, il semblait y avoir peu de monde. La plupart devaient surement profiter du beau temps qu'il y avait à l'extérieur et cela semblait bien normal après tout. Il se dirigea donc vers le comptoir et y déposa l'orbe de son Pandespiègle.

-Bonjour infirmière ! Pourriez-vous s'il vous plaît soigner mon pokémon . Elle a fait beaucoup d'efforts pour s'endurcir et elle en aurait vraiment bien besoin !

L'infirmière Joëlle d'Azuria ne pouvait pas se plaindre d'héberger beaucoup de dresseurs ici. En effet, elle avait entendu parlé de l'ouverture de l'île Kara, et même si peu de personnes encore avaient eu le courage d'y aller, beaucoup rôdaient dans les parages de Carmin sur Mer afin de se préparer aux conditions, qui pour les plus téméraires des explorateurs déjà sur les lieux, étaient difficiles dès que les dresseurs s'en allaient de la route principale. Pour en revenir a l'affluence du centre Pokémon, Joëlle n'avait pas a se plaindre du flux de dresseurs, pas trop élevé pour gérer aisément le centre, mais pas trop faible non plus pour ne pas ennuyer la jeune femme.

Un Homme assez imposant entra dans le bâtiment, et entra. Après avoir rapidement raconté quel était la nature du pokémon qu'il venait faire soigner - ce qui fit plaisir a l'infirmière qui ne faisait l'objet que de peu d'attention en général -, il présenta justement la pokéball, et la jeune femme effectua son travail. Après les quelques minutes d'attente, Joëlle sourit et annonça au dresseur :

- Votre pokémon est de nouveau d'attaque ! Autre chose ?

Cela prit quelques minutes, le temps que la machine face son oeuvre de soin pokémon. Une fois cela terminait, l'infirmière lui rendit avec le sourire l'orbe contenant son panda préféré, à nouveau d'attaque. Il fallait le dire, c'est infirmière Joelle faisait des merveilles avec cette machine. Il expulsa à nouveau son panda de sa pokéball qui sauta de joie en voyant à nouveau Kratos. Elle semblait être très joyeuse et de nouveau en pleine forme. Joelle lui posa alors une question qui ne cessait de revenir, mais dont l'explorateur avait le plaisir de répondre à chaque fois.

-Non ce sera tout. Je vous remercie d'avoir soigné mon petit panda préféré !

Il lui fit alors un sourire avant de se diriger vers la sortie, son panda à ses côtés. Une fois à l'extérieur, elle ne put s'empêcher d'observer les environs. Elle semblait être fascinée par la ville et la décoration de celle-ci. En plus de cela, la ville semblait être très agréable. Il continua donc sa route vers le marché pokémon pour y acheter quelque objet utile avant de se diriger vers une nouvelle route. Deux se dessinait à lui, au nord la routent cinq et au sud la route six. La route cinq faisait face à un cul-de-sac à la fin, donc il décida de prendre la route six.

A Road of Wind

L'agréable et plaisante ville d'Azuria se défilaient alors sous ces yeux. C'était formidablement étrange que la ville lui fasse un tel effet lui qui n'avait jamais ressenti le gout de vouloir se poser quelque part depuis le départ de sa maison familial pour débuter son aventure pokémon. Familial était un bien grand mot puisqu'il y vivait tout seul depuis des années, mais bon, il ne voulait point se poser quelque part pour l'instant, mais cette ville semblait l'appeler. En tout cas, il ne voulait point s'arrêter pour le moment puisqu'il voulait continuer de voyager à travers la région de Kanto et la visiter.

Le centre pokémon était tout prêt et il passa rapidement devant celui-ci. L'arène d'Azuria était également dans son champ de vision, mais de toute manière, cela lui était égal de savoir que l'arène était là puisqu'il ne voulait point commencer son cheminement des badges immédiatement, préférant patienter encore quelque peu avant de se jeter dans la mêlée des arènes pokémon. Cela semblait amusant de pouvoir combattre et relevé se genre se défie, mais il ne se sentait pas encore prêt. Après quelques minutes de marche, il entra rapidement sur la route quatre.

After the Moutain, the Road !

En entrant dans le centre pokémon, il ne se dirigea pas directement vers le comptoir. En effet, après avoir retourné en direction d'Azuria et entrer dans la ville, le jeune explorateur c'était directement diriger vers le Centre Pokémon de la ville pour y soigner directement ces pokémon qui avaient quelques problèmes de paralysie. En entrant, il se dirigea plutôt vers l'ordinateur qui se trouvait juste à côté du comptoir. Il y tapota quelques touches et plaça l'orbe de Dynavolt sur la machine pour qu'elle soi envoie directement dans son PC. Il venait de stocker sa pokéball de sa nouvelle découverte maintenant, Dynavolt. Il se releva puis se dirigea ensuite vers le comptoir où l'infirmière Joëlle s'y tenait, encore comme toutes les autres. Il déposa l'orbe de son petit Teddiursa ainsi que celle de sa petite Pandespiègle, son ours et son panda. Il regarda ensuite l'infirmière Joëlle avec le sourire aux lèvres, comme toujours, avant de demander des soins à la jeune femme.

-Bonjour, pourriez-vous soigner mon équipe s'il vous plaît. Ils en auraient bien besoin!

De nombreux dresseurs étaient arrivés au Centre Pokémon de la ville d'Azuria un peu plus tôt dans la journée. Il semblait quasiment tous venir d'un seul et même endroit et parlaient entre eux de la championne et d'un adversaire qu'elle avait eu et qui avait remporté le badge pour ensuite se faire battre lors d'une revanche. Un beau spectacle donc que Joëlle aurait bien aimé voir, elle qui aimait beaucoup Ondine et avec qui il lui arrivait de boire un verre et de papoter de tout et de rien, juste pour la détente quoi. Seulement, là, ça n'allait pas être possible puisque du coup, son comptoir avait été envahi par les gens qui avaient assisté au spectacle et qui voulaient faire un petit soin à leurs Pokémons chéris. Bref, elle avait du travail en perspective et ne pouvait pas chômer pour le moment.

De plus, aujourd'hui, Leveinard avait de la fièvre, rien de bien méchant, une grippe, donnée par un Ponyta sauvage, mais du coup, le Pokémon rose ne pouvait aider Joëlle qui se retrouvait toute seule pour s'occuper de tout le monde et qui avait donc un débit un peu moins élevé à cause de la fatigue. Demain, tout serait rentré dans l'ordre, Leveinard était du genre costaud et ne restait jamais alité bien longtemps, ce n'était pas dans ses habitudes.

Un homme, que Joëlle se souvenait avoir déjà vu ici, arriva alors au comptoir et y déposa deux orbes. Il demandait des soins et Joëlle s'exécuta en plaçant les objets dans la machine et en l'allumant. Là, elle remarqua que les deux petits Pokémons étaient paralysés.

- Vos Pokémons sont paralysés, rien de grave bien sûr, la machine va s'en charger. Vous avez eu ces problèmes avec les Wattouat de la Route 04 ou les Mystherbe de la Route 05 ?

Après tout, ce genre d'altération était fréquent ici en raison des Pokémons sauvages qui étaient dans les environs. Mais elle aimait bien en savoir un peu plus sur les soins qu'elle opéraient. Finalement, la machine sonna et Joëlle redonna les orbes au dresseur qui était devant le comptoir et qui attendait.

- Vous fallait-il autre chose ?

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