Origine à la Maison du Joueur (du coup, nulle part, pour Michael :/)

A quoi donc pouvait ressembler le repaire d'un groupe de voleurs ? Une cabane, en haut d'un arbre ? Michael n'avait pas envie de grimper là-haut, pour salir ses vêtements et risquer de tomber. Mais heureusement, à la réflexion, cela semblait peu probable. De ce qu'il avait compris, c'était une véritable organisation, des petites frappes certes, mais suffisamment nombreux pour qu'une cabane dans un arbre ne suffise plus à de grands enfants qui se sentaient obligés de voler les jouets des autres pour s'amuser. Ce qui lui paraissait le plus logique, c'était encore de chercher un bâtiment, à l'écart des chemins, cachés par des broussailles, ou encore une petit caverne creusée. Mais pouvait-on s'attendre à énormément de logique de la part de voleurs ? Ces malandrins n'étaient probablement pas arrivé là par hasard, s'ils avaient eu l'intelligence de faire autre chose, ils l'auraient sûrement fait. Du moins il l'espérait. D'un autre côté, tomber sur quelqu'un relativement intelligent serait un plus, au moins une personne avec qui s'entretenir ne lui donnerait pas envie de s'arracher les cheveux. Et puis avoir quelqu'un d'une intelligence au moins intermédiaire avec qui s'entretenir faciliterait la communication avec le reste du groupe, l'aiderait à s'imposer comme une figure d'autorité. Il faudrait toutefois veiller à rester discret, pour pouvoir un jour quitter les affaires sans que les méfaits qu'il s'apprêtait à commettre ne lui colle à la peau...
Il continuait sa fouille de la forêt de Jade, à la recherche d'un indice, toujours en traînant sa grosse valise, et sa mallette à la main. Puis il sentit sur son pied quelque chose qui s'y frottait, qui se tortillait tout autour. Il baissa les yeux vers l'être, qui se révélait être un Chenipan. Y avait-il plus faible que ce Pokémon ? Michael n'y connaissait pas grand chose, mais il pensait bien que non. Cependant c'était un insecte, et de ce qu'il avait retenu, ils progressaient très vite, grâce à leurs évolutions. Celui-là le regardait dans les yeux, avec ses deux énormes globes oculaires noirs, absolument vides et qui ouvraient une porte sur l'insignifiance de son existence. L'homme d'affaire lui lança une mine dédaigneuse, et le dégagea d'un léger coup de pied. Il n'avait pas le temps de jouer.
Cela faisait un moment qu'il parcourait le forêt, et il était sûr d'être bien loin du chemin. Soudainement, il vit une femme bondir d'un buisson, et passer non loin de lui avec hâte, tout en regardant par-dessus son épaule. A l'air qu'elle avait sur son visage, on voyait bien qu'elle avait quelque chose à cacher. Était-ce là une voleuse ? Michael avait bien l'impression que s'il restait couvert et qu'elle le suivait, il le découvrirait bien assez tôt. Ainsi commença la filature. Cela ne fut pas aisé, puisqu'il fallait avancer vite, tout en veillant à ne surtout pas abîmer sa tenue, mais au bout de quelques instant à se faufiler entre les branchages, il arriva sur une très petite clairière, dans laquelle se trouvait un grand entrepôt. Vraiment ? Un entrepôt ? La police de Kanto était-elle si incompétente qu'ils n'avaient pas su les débusquer et les arrêter ?
Là, la femme qu'il avait vu se présenta devant un homme à l'air désagréable, juste devant les portes de l'entrepôt. Ils eurent une rapide discussion, elle lui tendit quelque chose, dans un sac, et elle repartit prestement. Michael ferma les yeux, prit une rapide inspiration et souffla un bon coup. Pour l'instant, il devait contenir sa colère. Lorsqu'il rouvrit les yeux, l'illusion était parfaite. Il avait l'air sérieux, mais pas trop désagréable. Toujours en tirant derrière lui sa grosse valise, il avança d'un pas décidé vers l'homme qui se tenait devant l'entrepôt et s'adressa à lui, en faisant attention à ne rien dire qui puisse blesser l'orgueil vaurien :

"Salut ! C'est ici, le repaire de voleurs ? J'aimerais vous rejoindre. Je suis habile et intelligent, vous avez besoin d'éléments comme moi."

C'était vrai. Comment avaient-ils réussi à survivre avec un entrepôt si mal couvert ? Ou encore avec des membres incapables de remarquer qu'ils étaient suivis ? Il était grand temps, pour leur survie, qu'un peu d'intelligence vienne se mêler à l'organisation et que certaines règles soient instaurer. Mais après tout, que pouvait-on réellement attendre d'un groupe de malfrats ?

Modération:

 Origine dans la Forêt de Jade

Michael commença par chercher l'endroit par lequel il était arrivé dans la forêt, il y a de cela plusieurs jours. Il avait repéré en chemin un grand arbre, qui n'était pas de la même espèce que ses congénères. Difficile de dire si c'était celui qu'il avait en face de lui, mais ça se pourrait bien. Il chercha dans sa mémoire le chemin qu'i avait suivi depuis là. Il avait commencé par voir un autre voleur, courir à travers les buissons, et il lui semblait bien qu'il l'avait suivi pendant une vingtaine de minutes. Hésitant, le trader déchu traîna derrière lui sa grosse valise, à une allure lente pour ne surtout pas accrocher ses vêtements, dans une direction qui lui semblait être celle qu'il avait emprunté la dernière fois. Il reconnut l'endroit où il avait déjà mis un coup de pied dans un Chenipan, et cela le rassura quelque peu : pour l'instant, il avait pris le bon chemin.
D'ailleurs, il continua sans se tromper, étonnamment, puisqu'il arriva un peu plus tard à l'entrepôt. Il poussa la porte et entendit beaucoup de mouvement à l'intérieur, mais quand il put observer, tout semblait normal et calme. Il ne voyait même pas Rico. Alors il décida d'avancer un peu plus loin. Il posa sa mallette et sa valise dans un coin, près de l'entrée, et se dirigea vers une salle au fond, à la recherche de l'endroit où se trouvait son Chenipan. Lorsqu'il y pénétra, il trouva ce qui semblait être une sorte de bureau-débarras. En effet, au centre de la petit pièce se trouvait un PC sur une table, relié à l'une de ses machines que Michael avait pu voir au Centre Pokémon, et qui permettait de transférer informatiquement les Pokéballs. Juste à côté, entassées contre le mur, une trentaine de Pokéballs étiquetées. Au sommet du tas, l'une portait la mention "Michael". D'instinct, il en déduisit que c'était là le Chenipan qu'il était venu chercher, et il déboutonna alors sa veste. Il décrocha la sphère qui contenait Ramoloss, puisqu'il n'avait absolument pas envie de l'utiliser, ramassa son Chenipan, et lui arracha l'étiquette pour la coller sur la seconde orbe, qu'il laissa choir à la place de la première. Il accrocha cette dernière dans l'intérieur de sa veste, à la place de l'autre. Il hésita un instant. Il ne comptait pas plus utiliser Germignon non plus, qui n'avait fait que le décevoir jusqu'à présent. Sur la table sur laquelle reposait l'ordinateur, se trouvait l'étiqueteuse qui servait sur les Pokéballs. Il en profita donc pour inscrire son nom sur l'orbe qui contenait Germignon, avant de le mettre au tas lui aussi.
Le voleur s'apprêtait à reposer l'étiqueteuse sur la table, là où il l'avait trouvée, lorsqu'il vit des dossiers empilés à côté. Sur chacun d'entre eux était écrit au marqueur un nom : Qazea Sayou, Kimshino Kim, Mickael Heaven... Ça ne s'écrivait toujours pas comme cela, "Michael", mais l'orthographe était le moindre de ses soucis. Rico tenait donc des dossiers sur ses subordonnés. Cela n'avait rien d'extraordinaire dans ce genre d'organisation, mais il y avait de quoi être curieux, aussi ouvrit-il son propre dossier. Tout ce qui y était cependant très classique : il y avait une -très- courte page d'informations sur lui, avec entre autre son premier Pokémon, Ariel, suivi de son ordre de mission actuel. Quelque part, il était déçu, Michael. Ce n'était pas là-dedans qu'il apprendrait grand chose sur ce qu'avait prévu son patron de gros, et sans informations, il manquait encore de pouvoir... Mais il trouverait bien un moyen de le faire chanter, un jour à l'autre, si cela l'arrangeait. Cependant, entre deux dossiers de voleurs, se trouvait un dossier plus gros, et celui-ci était bien plus intéressant. Il s'agissait d'une villa, pas très loin d'ici. Se trouvait de nombreux documents, notamment un plan de la bâtisse, une description précise du système de sécurité, différents relevés des habitudes de ses propriétaires, et bien d'autre encore. Visiblement, certains préparaient un gros coup. Peut-être de quoi devenir riche. L'adresse n'était malheureusement pas notée, ce qui excluait de fait la possibilité de les dénoncer, et de faire tomber sous les barreaux de gros voleurs de l'organisation. Mais peut-être qu'à la place, il pourrait y participer...
Michael laissa là les dossiers, et sortit de la petite salle. Là, il vit enfin Rico. Le voleur se racla la gorge, à la fois pour chasser sa gène de tomber sur son patron après avoir fouillé dans ses affaires, mais aussi pour attirer son attention.

"Rico ! Je suis là."

Il s'avança ensuite vers lui, et une fois à distance suffisante pour discuter, il reprit, tandis qu'il sortait son portefeuille :

"Je viens faire mon rapport de mission. Tout d'abord, voici les dix points que je devais récolter. Ensuite, l'oeuf que vous m'aviez confié contenait un...Ramoloss, si je ne me trompe pas sur le nom. C'était une sorte de chien rose, mou et stupide. Je ne sais pas à qui vous l'avez subtilisé, mais je ne suis pas sûr que c'était un cadeau. Je l'ai déposé dans la salle du fond, avec les autres, et avec un Germignon."

Il espérait que cette phrase suffirait à justifier sa présence là-bas, et à apaiser d'éventuels soupçons sur ce qu'il y faisait. Il embraya immédiatement sur ce qu'il avait d'autre à dire à Rico :

"Maintenant...Avant que vous ne me donniez un nouvel ordre de mission, et que je ne me remette en route, j'aimerais aborder deux-trois points avec vous. Premièrement, concernant le Pokédex que vous m'avez confié, et que vous avez volé. Qui donc fabrique ces appareils ? Il serait sans doute intéressant pour l'organisation d'aller jeter un œil chez eux pour chercher d'autres objets tout autant utile. Autre chose, j'ai entendu de source sûre qu'à Safrania, les chercheurs avaient trouvé un moyen de manipuler le code génétique des Pokémons pour les rendre chromatique. Même chose : on aurait sûrement intérêt à aller dépouiller un scientifique proche d'ici, s'il en existe, pour nos affaires."

Bien sûr, ce que Rico allait peut être interpréter comme du zèle dissimulait la véritable intention de Michael. Bien qu'il croyait parfaitement en ce qu'il disait, il avait fait attention à se taire en ce qui concernait le Pokéludisme. Oui, voler les chercheurs rapporterait de l'argent. Mais en devenir un donnerait un accès quasi-illimité à leurs ressources, et ce en toute légalité : c'était assurément bien plus lucratif. Et puis, depuis un poste de chercheur, il pourrait, avec un peu de chance, faire partie de l'équipe qui trouverait le remède, ou le vaccin, au Pokéludisme, et ainsi sauver le business de Méphi. Quoi de mieux, pour triompher de son ennemi, que de faire en sorte qu'il vous soit éternellement redevable ? Le seul soucis, pour l'instant, c'était que Michael était un trader, un économiste, un marchand au plus. Il n'avait rien de l'éducation d'un scientifique...

"Au fait, une dernière chose. C'est Michael, pas Mickael. Ca ne s'écrit pas pareil, et ne se prononce pas non plus pareil."

Modération:

Sans sursauter le moins du monde, Rico se retourna vers son visiteur. Il le reconnut aussitôt. Une de ses dernières recrues à l'air supérieur qui l'énervait déjà.

"Bien, qu'est ce que tu m'veux ?" demanda-t-il sans délicatesse.

Son sbire se mit à alors à parler tout en déposant l'argent de sa mission. Il relata le fait que l'oeuf que lui avait envoyé Rico ne contenait qu'un pokemon minable, dépourvu d'intelligence, sans grand intérêt en somme.

"Et tu t'attendais à quoi hein ? A un Drakkarmin ? Un Artikodin ? Et puis quoi encore ! T'peux déjà me remercier de t'avoir confié un autre pokemon !" fit-il avec hargne.

Il détestait plus que tout qu'on lui manque de respect ainsi. Surtout après un tel geste ! Rico ramassa les pièces, en prit deux et fourra le reste dans sa poche avant de se diriger au fond de la pièce pour prendre les "récompenses" de mission. Même si là, il hésitait vraiment à les donner.

"Tiens, voici deux super-balls et deux pièces pour ta première mission." Il lui jeta carrément les objets avant de reprendre mais il fut couper par son interlocuteur, ce qui l'irrita un tantinet.

Il se mit alors à parler du fabriquant du Pokedex, de chercheurs à Safrania et de pokemon chromatique. Ricco le trouvait insupportable mais il ne pouvait nier le fait qu'il paraissait intelligent. Sa caboche semblait plus rempli que certains de ses subordonnés ... Bien. Au moins, il serait peut-être utile pour des missions plus compliqués.

"Tu joues les intelligents et pourtant tu ne sais pas d'où viennent ces machines ? Ahaha ! Elle est bien bonne !" Il éclata de rire. "Saches que ces appareils sont créés par des chercheurs expérimentés .. Et on en trouve à deux endroits : La Laboratoire du Professeur Chen ou l'Université de Celadôpole. Si tu veux en apprendre plus, rends-toi à ces endroits. Mais pour l'instant, je n'ai pas de temps à perdre et vu que tu me parles de chromatiques ... Ca tombe bien ! Ta prochaine mission est justement de m'en chopper un ! Vois-tu, les pokemons chromatiques sont très recherchés ... Surtout les pokemons qualifiés de "mignon" qui ont un véritable succès auprès des coordinateurs .. Récemment, une vieille femme à emménager à Carmin-sur-Mer, une certaine Madame Disgea ... Elle possède un Emolga chromatique .. Voles le lui et ramènes le moi."

Détails de la mission:

Rico était toujours aussi agréable. Il était dur d'affirmer que c'était bien des mots qui sortaient de sa bouche, tant cela ressemblait à des aboiements aux oreilles de Michael. Et visiblement, il ne semblait apprécier aucun mot qui sortait de la bouche de son subordonné... Celui-ci ne connaissait ni Drakkarmin, ni Artikodin, mais saisissait sans difficulté l'idée. Il tenta tout de même de clarifier :

"Je ne rapporte pas cette éclosion pour me plaindre. Sachez juste qu'il existe deux grands pouvoirs dans ce monde : l'argent, et l'information."

Il ne s'étendrait pas plus là-dessus. Peut être que son employeur écervelé méditerait à ce sujet en attendant leur prochaine rencontre...Il l'espérait, du moins. Il avait horreur de se faire parler de la sorte, et intérieurement, il bouillait. Les dents serrés, il se répéta en pensée que, lorsqu'il n'aurait plus besoin de Rico, il le dénoncerait à la police et le ferait couler.
Mais pour l'instant, il était récompensé pour son travail, et cela lui suffisait. A voir l'aspect des Superballs, il en déduisit sans trop de mal qu'il s'agissait de Pokéballs améliorées. Quant à savoir ce que représentait exactement l'amélioration, il n'en savait rien...Pour l'instant, les Pokéballs avaient très bien marché, alors, dans le doute, il garderait ces deux-ci pour une occasion spéciale, et retournerait acheter des Pokéballs. Deux points lui furent rendu avec, ce qui lui permettrait justement de faire l'achat.
Rico ne se gêna pas pour rire de lui, alors même qu'il était en entretien tous les deux. Ce personnage finirait un jour misérable, et il l'aurait bien mérité. Cependant, il lui fournit des informations intéressantes sur le Pokédex. Bien sûr, le Professeur Chen ! Tout le monde le connaissait, même Michael. Il avait construit son laboratoire...au Bourg-Palette, si il ne faisait pas d'erreur. Il faudrait donc s'y rendre. Son nouvel ordre de mission lui fut aussi attribué : il s'agissait de voler, à Carmin-sur-Mer, un Emolga chromatique. Rico lui tendit un papier donnant des détails sur la mission, et ce papier ressemblait trait pour trait au genre de papier que le voleur avait aperçu dans les dossiers, dans la salle au fond, tout à l'heure. Pour l'instant, personne n'avait du y être envoyé, puisque rien n'était noté concernant les habitudes de la maison. Il faudrait aller voir par soi-même.
Et puis, le ventre de Michael gargouilla. Son repas dans la forêt, tout à l'heure, avait été interrompu par l'arrivée de celui qui était devenu son Chenipan. Et quand le combat avait été fini, et la capture effectuée, ils étaient repartis, sans prendre le temps de poursuivre le dîner. Il était donc normal que l'ancien trader ait de nouveau faim. Il écourterait donc cette entrevue, en espérant manger très vite. Il avait envie d'un restaurant, ce soir. Bien sûr, il faudrait partir sans payer. Mais puisqu'il devait faire des achats, autant se rendre à Jadielle et faire d'une pierre deux coups.

"Bien, merci pour tout", dit-il hypocritement. "Ce sera fait dans les plus brefs délais."

Sans attendre, il rangea sa récompense, accrochant les Superballs à sa veste, rangeant les points dans son portefeuille, et se dirigea vers la sortie. Là, il récupéra sa mallette et sa valise, et poussa les portes de nouveau pour retourner dans la forêt.

Rico était bien trop occupé à faire ses comptes pour entendre la porte de son bureau grincer en s'ouvrant. Il avait réussi à amasser gros avec ces dernières ventes "illégales". Très gros même ! D'ailleurs, un immense sourire satisfait s'affichait sur son visage en voyant les nombreuses grosses sommes. Enfin ... jusqu'à ce qu'il entende sa voix ...

Il releva la tête et fit face à une de ses dernières recrues. Un homme, peut-etre plus vieux que lui, ou pas. Il n'en savait rien et il s'en fichait royalement. Tout ce qu'il savait, c'est qu'il était fort désagréable. Rico fronça les sourcils et sans un mot l'écouta. Ce Michael lui parlait de Pokéludisme et de machines ... Qu'est ce qu'il s'en foutait de ça ! Et en plus, dans "sa" forêt ?! Le roi des voleurs se retint de rire et attendit qu'il finisse.

"Et bah figures toi, que je ne suis au courant de rien ! Et tu peux me croire, encore heureux ! Sinon j'aurai été trouvé ses mecs moi et je leur aurait fait payer ! Voir même avaler leurs dents jusqu'à la dernière ! Tu sais à quel point cette forêt regorge de Pokémons rares ?! Je te parle des Arcko, des Apitrini et encore bien d'autres ! Ces pokémons là valent une fortune ! Une paquet de pognons ! Et à cause de ce p**** de Pokélufisme où je sais pas quoi .. On en trouve plus aucun ! Ou alors ils sont à deux doigts de me clamser entre les mains !" cria t-il en tapant fortement du poing sur son bureau Puis il se leva et se dirigea vers la sortie. "Alors, ne viens pas me faire perdre mon temps ! Soit tu bosses et tu me ramènes de quoi pallier à mes pertes soit tu t'arranges pour vite mettre cette machine hors d'état de me nuire ! ET GROUILLES TOI !"

Rico sortit de son bureau en claquant fermement la porte. Il n'avait pas que ça à faire ! Sans compter qu'il venait d'entendre quelque chose d'intéressant à propos de bijoux précieux ... Ses affaires n'attendent pas !