[Privé + Augias Linford]Un hasard pas comme les autres !

Bonjour à tous !

A part Lougaroc Crépusculaire... Rien sur Ultra-Soleil et Ultra-Lune. Sauf aujourd'hui !

Spoiler:

A la clé :
- De nouveaux héros
- Le Super Bracelet Z
- De nouveaux lieux et bâtiments
- Histoire centrée autour de Necrozma
- Jaquettes des jeux révélées
- …

Nombre de messages : 473 Date d'inscription : 12/04/2012

La jeune femme venait de s'emparer de la main du jeune homme, c'est à cet instant que le pokématos émit un son strident faisant tiquer celle-ci. Elle lâchait alors cette main, un peu déçue mais gênée, elle rougissait, elle n'avait pas calculé son geste, celui-ci avait été impulsif. Alors, elle jetait un oeil sur son pokématos, il s'agissait de Glen. Il ne lui avait pas demandé de nouvelles depuis presque 1 mois, et maintenant il resurgissait ainsi. Elle ne prit donc pas la peine de lire ce message, agacé par son comportement beaucoup trop tête en l'air.

Mimitoss concentrait de nouveau ses forces psychiques, le Paras s'élevait alors du sol comme son camarade Mimigal pour s'écraser dans les buissons de baies derrière lui. Il sortait avec difficulté mais Hypotrempe le dispersait avec son attaque Brouillard. Satisfaite, Matsuo souriait amicalement au jeune homme brun, les yeux brillants, avant de laisser de nouveau s'échapper une toux sèche et douloureuse.

- Bien joué, continuons comme ça. Mimitoss on recommence !

Attaque :

Mimitoss lança la même attaque qu'elle avait utilisé contre Mimigal. Mais cette fois-ci Paras s'en sortit. Il mit du temps à se relever, il était sur le point d'être K.O. Une sorte de sonnerie retentit, ça venait de la poche de Matsuo. Elle lâcha la main d'Augias pour sortir le Pokématos de sa poche. Ce dernier était un peu déçu mais il avait pu déceler une expression sur le visage de la demoiselle qui prouvait qu'elle ressentait la même chose. Elle rangea son pokématos presque immédiatement après l'avoir sortit et paru un petit peu énerver. Augias ne voulait pas se mêler de ce qui ne le regardait pas.

Après que Paras est subit l'attaque choc mental ce fut autour d'Hypotrempe d'attaquer, qui lui lança un jet d'encre en pleine figure. Ce dernier étant aveuglé manqua son attaque.

"Parfait Poséidon ça a fonctionné ! Dans ce cas on va recommencer histoire qu'il voit encore moins bien. Poséidon lance l'attaque Brouillard !"

Spoiler:

Mimitoss utilise Choc Mental !
Paras perd 7 PV !

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PV : 3 > 0
Paras est KO !

Mimitoss et Hypotrempe gagnent 100 points d'expérience !
Mimitoss monte au niveau 15 ! Il gagne 2 points de stats !
Hypotrempe monte au niveau 7 ! Il gagne 2 points de stats !
Matsuo et Augias gagnent 1 point.

Inventaire:

Mimitoss se plaçait de nouveau entre sa dresseur et le pokémon sauvage, le regardant droit dans les yeux. Le poil de son dos se dressait rapidement sur tout son corps. Un flux multicolore l'entourait avant de se déplacer autour de l'insecte orangé. Celui-ci quittait de nouveau le sol, avant de se retrouvait projeter au pied de la colline tout comme son camarade.

Le choc fut fatal, rendant inconscient la créature. Le pokémon violet se jetait alors dans les bras de la jeune femme fière de lui, celle-ci ne manquait pas de lui montrer en caressant affectueusement sa fourrure. Matsuo, cherchait alors quelque chose dans sa besace, on pouvait entendre le bruit de plusieurs objets se heurter, synonyme de manque de rangement.

Victorieuse, la jeune blonde extirpait avec difficulté une potion. Elle remit celle-ci à son camarade, souriante, profitant furtivement du contacte de sa main contre la sienne.

- Voici la potion que je t'ai promise. Je n'en ai pas besoin, je préfère qu'elle te soit utile à toi.

Mimitoss recommença son attaque, Paras s'envola encore une fois et finit par rejoindre son compagnon Mimigal au pied de la colline. Ce dernier étant K.O ce fut Mimitoss et Hypotrempe qui gagnèrent. Mimitoss se jeta dans les bras de sa maîtresse et Hypotrempe dans les bras de son dresseur. Augias était fier de son protégé, il devenait plus fort à chaque combat.

Matsuo chercha quelque chose dans sa besace, a force d'acharnement elle réussit à sortir une potion.

"Voici la potion que je t'ai promis. Je n'en ai pas besoin, je préfère qu'elle te soit utile à toi."

"Merci Matsuo c'est très gentil, tu as le coeur sur la main. Tiens Poséidon, bois ça, tu vas te sentir en pleine forme après."

Sentir la main de Matsuo contre la sienne lui rappelle la sensation qu'il avait ressenti durant le combat, il mit du temps à enlever sa main et ça ne se fit pas sans peine. Mais Augias se dit qu'il aura d'autres occasions de serrer la main de la jeune fille.
Hypotrempe boit la potion d'une traite et se sens revivre, il sautilla un peu partout avant de s'arrêter devant sa bienfaitrice. Il lui adressa un sourire pour la remercier et retourne vers son dresseur.

"Poséidon est très heureux et moi aussi, nous ne te remercierons jamais assez. Qu'en dis tu si on continuait à se reposer ?"

Tout comme Mimitoss, Hypotrempe, baptisé Poséidon imitait celui-ci, se jetant dans les bras du jeune homme aux cheveux d'ébènes. Il exprimait sa joie en criant son nom de façon répétitive, c'était ainsi que les pokémons s'exprimaient, ils utilisaient leur nom comme seul vocabulaire, l'intonation suffisant à se comprendre entre eux. Augias laissait un sourire radieux se dessiner sur son visage. Une merveilleuse complicité se tissait entre eux.

Lorsque leur main se touchèrent maladroitement, afin de faire la potion de l'une à l'autre, le jeune homme restait un court instant en arrêt. Cela fit rougir Matsuo, elle n'osait pourtant pas mettre fin à ce contact, elle aussi figée. Hypotrempe était par la suite venu remercier celle-ci, elle était heureuse, c'était un pokémon mignon et adorable qu'elle rêverait de capturer lorsqu'elle en aurait l'occasion.

- Poséidon est très heureux et moi aussi, nous ne te remercierons jamais assez. Qu'en dis tu si on continuait à se reposer ?
- C'est un plaisir pour moi de vous êtes venue en aide. Oui ça ne me fera pas de mal, merci beaucoup.

Elle laissait échapper une toux sèche avant de se laisser tomber en arrière, s'étendant de tout son long sur l'herbe douce et fraiche.

"C'est un plaisir pour moi de vous êtes venue en aide. Oui ça ne me fera pas de mal, merci beaucoup."

Elle toussa encore une fois, et se laissa tomber en arrière dans l'herbe. Augias se demandait vraiment ce qu'elle avait. C'était une souffrance pour elle de tousser, il aurait vraiment aimer l'aider, mais tant qu'elle ne lui dirait pas ce qu'elle a il ne pourrait rien faire. Il décida de prendre les choses en mains en lui parlant une nouvelle fois de sa maladie.

"Matsuo, vous êtes gravement malade et vous ne pouvez le nier. Tout à l'heure vous m'aviez dit que ça ne me regardait pas. C'est vrai mais je tiens vraiment à vous aider, votre maladie vous fais souffrir et je le vois. Ça ne m'amuse pas de vous voir mourir à petit feu. Je ne veux en aucun cas vous forcer à m'en parler mais si vous le faites je vous en serais reconnaissant, je ne souhaite que vous aidez..."

Après avoir dit tout cela, Augias s'assit à côté et décida de ne pas la lâcher du regard tant qu'elle n'aura pas répondu à sa question.

Lorsque la jeune femme laissait de nouveau échapper cette toux empoisonnée, celle qui lui gâchait tant la vie, Augias la regardait perplexe. Son mensonge avait-il été remarqué ? Elle ne l'espérait pas, il fallait qu'elle trouve une nouvelle parade et rapidement. Toute hésitation serait suspecte. Ce jeune homme semblait têtu, il voulait en savoir plus, mais il était pour elle impossible de l'en informer. C'était une question de survie, si la Rose Noire apprenait cela, elle cesserait la transmission d'antidote, ça en serait fini pour elle.

- Matsuo, vous êtes gravement malade et vous ne pouvez le nier. Tout à l'heure vous m'aviez dit que ça ne me regardait pas. C'est vrai mais je tiens vraiment à vous aider, votre maladie vous fais souffrir et je le vois. Ça ne m'amuse pas de vous voir mourir à petit feu. Je ne veux en aucun cas vous forcer à m'en parler mais si vous le faites je vous en serais reconnaissant, je ne souhaite que vous aidez...
- Non vous avez raison, je ne peux nier ma maladie pulmonaire. Je reste sur ma position ça ne vous regarde toujours pas. Vous ne pouvez pas m'aider, seul l'infirmière qui vient m'injecter mon traitement régulièrement peut m'aider. Je ne mourrais pas tant qu'il viendra, je n'ai pas le droit d'en dire plus. Sinon, il ne viendrait plus ... Merci de ne pas insister.

Elle souriait amicalement mais semblait triste, elle en avait peut-être déjà trop dit. Si tel était le cas il ne lui restait que peu de temps à vivre avant de devenir un légume.

Lorsqu'Augias a dit ceci son visage changea, elle sembla se refermer sur elle même. Enfin c'était ce qu'Augias ressentait.

"Non vous avez raison, je ne peux nier ma maladie pulmonaire. Je reste sur ma position ça ne vous regarde toujours pas. Vous ne pouvez pas m'aider, seul l'infirmière qui vient m'injecter mon traitement régulièrement peut m'aider. Je ne mourrais pas tant qu'il viendra, je n'ai pas le droit d'en dire plus. Sinon, il ne viendrait plus ... Merci de ne pas insister."

Elle disait cela en souriant, Augias ressentit de la peine pour elle...

"Avec ce que vous m'avez dit j'en ai déduis certaines choses... C'est promis je ne chercherais pas à en savoir plus. Si je cherche à vous aider je vous causerais plus de problèmes qu'autre chose... J'ai toujours été inutile et ça continue, c'en est pénible à force."

Augias se rallongea dans l'herbe avant de reprendre la parole.

"Matsuo, vous ne pouvez rien me dire sur votre maladie mais je suis prêt à vous aider sur n'importe quoi d'autres, je serais toujours là."

Augias se redressa en s'appuyant sur ses coudes.

"Matsuo, j'ai une proposition à vous faire, c'est peut-être un peu rapide vu qu'on se connaît à peine, je ne vous en voudrais donc pas si vous refusez. Mais... est ce que ça vous dit que l'on voyage ensemble ?"

En plus de lui montrer l'attachement qu'il ressentait pour elle, il faisait passer son bonheur à travers ce message. Augias disait cela avec un grand enthousiasme. Il espérait que la réponse soit positive mais il était stresser à l'idée que la jeune femme blonde refuse...

Le jeune homme, sans que celle-ci ne dise quoi que ce soit de plus, parvint aisément à lire la peine qui se trouvait en elle. Glen, lui, ne la comprenait pas aussi bien, elle non plus ne parvenait pas à expliquer cette si grande différence entre les deux hommes. En plus, sa compagnie lui faisait oublier cet empoisonnement, alors que le message de Glen, avait été comme un coup de poignard en plein cœur, lui rappelant beaucoup trop la Matsuo d'avant ...

- Avec ce que vous m'avez dit j'en ai déduis certaines choses... C'est promis je ne chercherais pas à en savoir plus. Si je cherche à vous aider je vous causerais plus de problèmes qu'autre chose... J'ai toujours été inutile et ça continue, c'en est pénible à force.
- Non, grâce à votre compagnie, j'en oublie que je suis malade.

Le jeune homme s'allongeait à ses côtés, dans ce tapis d'herbe si confortable.

- Matsuo, vous ne pouvez rien me dire sur votre maladie mais je suis prêt à vous aider sur n'importe quoi d'autres, je serais toujours là.
- Même si je le voulais je ne pourrais pas. Je vous remercie grandement, ça me touche beaucoup. Sachez que je suis moi aussi là, même malade, je reste utile, je peux vous l'assurer.

Le dresseur aux cheveux d'ébène se redressait. Matsuo, réellement touchée par ses propos l'enlaçait doucement, rougissant, laissant rouler une larme le long de sa joue.

- Matsuo, j'ai une proposition à vous faire, c'est peut-être un peu rapide vu qu'on se connaît à peine, je ne vous en voudrais donc pas si vous refusez. Mais... est ce que ça vous dit que l'on voyage ensemble ?
- Je vous écoute monsieur Augias, je suis toute ouïe. J'accepte, ça me fait énormément plaisir d'avoir un compagnon de route comme vous. Ce n'est pas si simple de faire la route seule vous savez. Et avec vous à mes côtés je me sentirais plus en sécurité, je n'aurai plus peur de faire mes déplacements avec ces poumons qui me font souffrir.

Le jeune homme était enjoué à l'énoncé de sa proposition, il semblait s'être déjà attaché à la jeune femme, ce que celle-ci trouvait touchant. Heureuse elle aussi, elle resserrait doucement son étreinte inconsciemment.

"Non, grâce à votre compagnie, j'en oublie que je suis malade."

"Si c'est le cas alors ça me fait très plaisir, je ne pensais pas que ça serait le cas. Je suis heureux d'entendre ça."

Augias après s'être allongé lui dit qu'il serait toujours là pour l'aider si elle en avait besoin.

"Même si je le voulais je ne pourrais pas. Je vous remercie grandement, ça me touche beaucoup. Sachez que je suis moi aussi là, même malade, je reste utile, je peux vous l'assurer."

"Inutile de me remercier, c'est normal, et en plus j'adore me rendre utile. Merci Matsuo, je saurais à qui me confier si j'ai un problème merci beaucoup."

Matsuo avait l'air très touchée par les propos d'Augias et versa une larme. Ce dernier était ému de voir ça. Elle le prit d'un seul coup dans bras et versa une larme de joie et il en fut très heureux, il pensa que c'était pour lui qu'elle versa une petite larme. Il ne pensait pas une seul seconde qu'elle allait le prendre dans ses bras, c'était merveilleux pour lui, ce fut un réel bonheur partagé.

Il lui proposa alors de voyager avec elle et espérait sincèrement qu'elle accepte sa proposition, ce qu'elle fit...

"Je vous écoute monsieur Augias, je suis toute ouïe. J'accepte, ça me fait énormément plaisir d'avoir un compagnon de route comme vous. Ce n'est pas si simple de faire la route seule vous savez. Et avec vous à mes côtés je me sentirais plus en sécurité, je n'aurai plus peur de faire mes déplacements avec ces poumons qui me font souffrir."

"Alors vous acceptez vraiment ? C'est merveilleux, je ne pensais pas que vous alliez accepter. Je sais que ça n'est pas simple, même si c'était mon souhait au début, mais je suis si heureux de faire le trajet avec vous si vous saviez. C'est plutôt à moi de me sentir en sécurité quand je vois de quoi vos pokémon sont capable. Ne pensez plus à votre maladie, pensez plutôt aux aventures qui nous attendent."

Augias n'a jamais été aussi heureux, il comprit ce qu'était le bonheur, avoir quelqu'un à ses côtés. Et ça n'est pas n'importe quel personne, il ne pouvait pas espérer mieux... Il sentit que Matsuo la serrait de plus en plus fort dans ses bras, ne sachant pas quoi faire, il laissa Matsuo augmenter son étreinte...

Le jeune homme aux cheveux d'ébène semblait si heureux, son sourire illuminait radieusement son visage à la peau pâle, il brillait tel un rayon de soleil. Étrangement, il ne réagissait pas à l'étreinte de la jeune femme, il restait de marbre, la laissant faire. C'est alors qu'elle comprit que cette situation le gênait, elle relâchait donc délicatement son étreinte, peur de le briser comme un verre de cristal fragile comme la glace d'une stalactite.

- Oh je suis navrée. Je ne sais vraiment pas ce qui a pu me passer par la tête. Je n'aurais pas du, vraiment, c'est très impoli de ma part. Regardez, je vous serré trop fort, vous êtes tout rouge ! Une seconde de plus et je vous aurais étranglé à coup sûr.

La jeune femme était mal à l'aise, et pourtant, dieu sait à quel point elle avait apprécié cette étreinte. Elle se redressait un instant avant de s'allonger aux côtés de Augias, un peu plus près, mine de rien, les mains sur son ventre et les genoux relevés. Cette journée avait été épuisante, cependant, elle n'en montrait rien, elle voulait encore passer du temps avec cet inconnu si charmant.

Augias sentit que l'étreinte de Matsuo se dissipa petit à petit, puis elle disparut complètement. Il fut un peu déçu, il était content de cet étreinte, mais toute les bonnes choses ont une fin...

"Oh je suis navrée. Je ne sais vraiment pas ce qui a pu me passer par la tête. Je n'aurais pas du, vraiment, c'est très impoli de ma part. Regardez, je vous serré trop fort, vous êtes tout rouge ! Une seconde de plus et je vous aurais étranglé à coup sûr."

"Oh non ne t'excuse pas Matsuo, ça m'a fait très plaisir contrairement à ce que tu pense. Tu sais quand tu m'avais pris la main, j'ai trouvé ça très mignon... Et bien là c'était pareil mais en mieux. C'est plutôt à moi de m'excuser, je t'ai fait croire l'inverse de ce que j'ai ressenti. Et puis si je rougissais ça n'est pas parce que tu m'étranglais..."

Matsuo s'allongea dans l'herbe. Augias vit qu'elle s'était rapproché de lui, elle releva les genoux et posa ses mains sur son ventre. Augias se rapprocha un peu et prit sa main. Il s'allonge de nouveau à ses côtés, plus près qu'avant et regardait le ciel. Il réfléchissait, il pensait au merveilleux voyage qu'il allait accomplir avec Matsuo. C'était encore mieux que son rêve. Il ferma les yeux et sourit, tout en gardant la main de la jeune fille dans la sienne...

- Oh non ne t'excuse pas Matsuo, ça m'a fait très plaisir contrairement à ce que tu pense. Tu sais quand tu m'avais pris la main, j'ai trouvé ça très mignon... Et bien là c'était pareil mais en mieux. C'est plutôt à moi de m'excuser, je t'ai fait croire l'inverse de ce que j'ai ressenti. Et puis si je rougissais ça n'est pas parce que tu m'étranglais...
- Vraiment ? Vous pensez sérieusement ce que vous me dites monsieur Augias ? Vous n'avez pas à vous excuser, mais qu'entendez vous lorsque vous utilisez le terme de ressentir ? Oh je comprends, je ferais attention à mes gestes la prochaine fois, vous n'aurais plus à vous sentir gêné. Je vous en fais la promesse monsieur !

Elle le regardait droit dans les yeux, lui décrochant un sincère sourire. La jeune femme était beaucoup trop gentille et naïve, ou peut-être que tout simplement elle avait peur de se l'admettre. C'était le premier à lui dire toutes ses choses, elle craignait avoir mal interprété ses dires alors elle préférait faire mine de rien. Elle ne voulait pas se faire de films, elle ne voulait pas s'imaginer de choses impossibles ...

Lorsque qu'elle s'allongea, le jeune se rapprocha et lui prit la main, elle prit ceci pour un signe d'amitié, le regardant les yeux brillants.

"Vraiment ? Vous pensez sérieusement ce que vous me dites monsieur Augias ? Vous n'avez pas à vous excuser, mais qu'entendez vous lorsque vous utilisez le terme de ressentir ? Oh je comprends, je ferais attention à mes gestes la prochaine fois, vous n'aurais plus à vous sentir gêné. Je vous en fais la promesse monsieur !"

"Hum... Oubliez ce que j'ai dit, ne faites pas attention. Par contre vous pouvez me tutoyer si vous le souhaiter."

Augias était légèrement déçu par cette réponse, ça n'est pas celle qu'il pensait entendre, mais il préféra oublier tout ceci très vite. Malgré le sourire qu'elle avait fait, il ne se sentait pas mieux. Il essayait de penser à autre chose mais n'y arrivait pas. Il décida de se lever et d'aller voir son pokémon.

"Poséidon, Matsuo et ses compagnons vont nous accompagner dans notre voyage. Cela te fait plaisir ?"

Hypotrempe montra son enthousiasme à la jeune fille puis se jeta dans les bras de son maître. Celui-ci s'assit dos à Matsuo et fixa le sol. Il repensa aux paroles de Matsuo, il avait peut-être mal comprit ce qu'elle voulait lui dire, mais c'était trop tard. Il se retourna, la regarda mais ne savait pas quoi dire...

- Hum... Oubliez ce que j'ai dit, ne faites pas attention. Par contre vous pouvez me tutoyer si vous le souhaiter.
- Monsieur Augias ? Si cela peut vous rassurer, je pense avoir compris de quoi vous parliez. Mais je ne vous cache pas la peur que j'ai de mal avoir interprété ceci. Je me sens bien avec vous, mais on se connait à peine, je ne sais pas si c'est raisonnable tout ceci. Je me sens moins en votre présence, plus vivante grâce à vous. Je ne vais essayer dans ce cas.

Augias semblait vexé, voir déçu, il se levait rapidement, lâchant la main de la jeune femme. Celle-ci le regardait tristement, les larmes aux frontières de ses yeux saphirs, prêtes à dévaler ses joues rosies. L'arrêt de se contact fut comme une gifle pour elle. Elle fourrait alors la tête dans la fourrure de Mimitoss pour laisser couler ses petites larmes, elle était devenue fragile depuis son empoisonnement ...

Le jeune dresseur dialoguait quelques instant avec son compagnon, la créature semblait ravie à l'idée de faire route avec la jeune femme. Augias s'asseyait de nouveau, mais cette fois-ci dos à Matsuo. Alors, celle-ci laissait tomber sa tête en arrière, atterrissant dans le creux de la nuque du jeune homme.

"Monsieur Augias ? Si cela peut vous rassurer, je pense avoir compris de quoi vous parliez. Mais je ne vous cache pas la peur que j'ai de mal avoir interprété ceci. Je me sens bien avec vous, mais on se connait à peine, je ne sais pas si c'est raisonnable tout ceci. Je me sens moins en votre présence, plus vivante grâce à vous. Je ne vais essayer dans ce cas."

"Je vais t'expliquer, je n'ai pas à te cacher ceci. Quand tu m'as pris la main et que tu m'as serré dans tes bras j'étais heureux, c'était un bon moment. Ce que j'ai ressenti c'est du bonheur, et je n'en ai pas ressenti souvent. J'en demande peut-être trop mais des instants comme ça j'aimerais en repasser. Bien sûr je ne veux pas te forcer. Ce n'est peut-être pas raisonnable en effet car il y a des choses sur vous que je ne sais pas et peut-être que vous risquez quelque chose si vous vous attachez à moi, ce que je comprends parfaitement."

Après son discours Augias sentit la tête de Matsuo tomber sur le haut de son dos, au creux de sa nuque. Il se retourna et la tête de la jeune fille tomba sur ses cuisses. Il lui reprit la main en la serrant juste assez pour qu'elle n'est pas mal. Il lui sourit et reprit :

"Ca c'est un moment que j'apprécie, et je sais que toi aussi. Si je sers ta main, c'est pour te dire que je ne t'abandonnerais jamais, nous voyagerons toujours ensemble je te le promets. Et j'espère un jour pouvoir t'aider à te défaire de cette maladie."

Augias se rallongea une nouvelle fois, la tête de Matsuo posé sur sa cuisse, main dans la main...

- Je vais t'expliquer, je n'ai pas à te cacher ceci. Quand tu m'as pris la main et que tu m'as serré dans tes bras j'étais heureux, c'était un bon moment. Ce que j'ai ressenti c'est du bonheur, et je n'en ai pas ressenti souvent. J'en demande peut-être trop mais des instants comme ça j'aimerais en repasser. Bien sûr je ne veux pas te forcer. Ce n'est peut-être pas raisonnable en effet car il y a des choses sur vous que je ne sais pas et peut-être que vous risquez quelque chose si vous vous attachez à moi, ce que je comprends parfaitement.
- J'aime beaucoup ta franchise monsieur Augias, j'aime savoir les choses telles qu'elles le sont. Je ... Moi aussi je suis heureuse avec vous, alors qu'avant je m'effaçais peu à peu, je sombrais tel un vieux souvenir oublié. Je ... Non moi aussi je veux que ça continu ainsi, vous n'avez pas à me forcer et je ne pense pas prendre de risque en m'attachant à quelqu'un, ça ne met en aucun cas ma vie en danger, du moment que je reste muette sur ce qui ne doit pas être dit.

Le jeune homme, alors que Matsuo était maintenue par son dos, la tête dans le creux de sa nuque, se retournait maladroitement. La tête de la jeune femme glissait alors tout doucement jusqu'aux cuisses de celui-ci, les serrant dans ses bras de toutes ses forces, peur qu'il ne s'enfuit, imaginant que c'était son torse et non ses cuisses. Augias, un sourire dessiné sur ses lèvres, glissait sa main lentement vers la sienne, entremêlant ses doigts avec les siens avant de reprendre la parole.

- Ca c'est un moment que j'apprécie, et je sais que toi aussi. Si je sers ta main, c'est pour te dire que je ne t'abandonnerais jamais, nous voyagerons toujours ensemble je te le promets. Et j'espère un jour pouvoir t'aider à te défaire de cette maladie.
- J'apprécie moi aussi cette instant, vous avez raison monsieur Augias. Je vous le promet aussi, cependant pour la maladie rien n'est gagné vous savez, mais je survie, ne vous en faites pas. En plus, maintenant j'ai une raison de survivre, chose que je n'avais pas avant.

Le jeune dresseur se rallongeait doucement, la jeune femme toujours posée sur lui, elle le regardait alors tendrement, les yeux brillants de bonheur.

"J'aime beaucoup ta franchise monsieur Augias, j'aime savoir les choses telles qu'elles le sont. Je ... Moi aussi je suis heureuse avec vous, alors qu'avant je m'effaçais peu à peu, je sombrais tel un vieux souvenir oublié. Je ... Non moi aussi je veux que ça continu ainsi, vous n'avez pas à me forcer et je ne pense pas prendre de risque en m'attachant à quelqu'un, ça ne met en aucun cas ma vie en danger, du moment que je reste muette sur ce qui ne doit pas être dit."
"Alors je serais toujours franc avec toi. Hum... On dirait que je suis arrivé au bon moment, tant mieux si j'ai pu vous aidez, c'est ce que je souhaitais. C'est vrai vous pouvez vous attachez à quelqu'un sans craindre de représailles ? C'est merveilleux ! Enfin si c'est à moi que vous devez vous attachez, ça se fera avec le temps, pas en vous forçant la main... Au fait, tu peux me tutoyer Matsuo, ça me fait un côté vieux le "Monsieur Augias" je trouve."

Augias avait sourit à Matsuo en disant cette dernière phrase. Quand il fit basculé la tête de la jeune fille sur ses cuisses, elle les serra très fort. Augias n'avait pas mal, il put apprécier l'étreinte à sa juste valeur.

"J'apprécie moi aussi cette instant, vous avez raison monsieur Augias. Je vous le promet aussi, cependant pour la maladie rien n'est gagné vous savez, mais je survie, ne vous en faites pas. En plus, maintenant j'ai une raison de survivre, chose que je n'avais pas avant."

"Merci Matsuo ça me fait plaisir que tu me le promettes aussi. Rien n'est jamais gagné, mais ça en vaudra la peine. Survivre n'est pas vivre, mais je ne vous lâcherais pas. Je suppose que c'est moi la raison, je ne sais pas quoi dire Matsuo, je suis tellement heureux..."

La jeune fille regarda Augias dans les yeux, ça se voyait qu'elle était très heureuse. Augias en profita pour lui déposer un petit baiser sur le front...

- Alors je serais toujours franc avec toi. Hum... On dirait que je suis arrivé au bon moment, tant mieux si j'ai pu vous aidez, c'est ce que je souhaitais. C'est vrai vous pouvez vous attachez à quelqu'un sans craindre de représailles ? C'est merveilleux ! Enfin si c'est à moi que vous devez vous attachez, ça se fera avec le temps, pas en vous forçant la main... Au fait, tu peux me tutoyer Matsuo, ça me fait un côté vieux le "Monsieur Augias" je trouve.
- Je ne pense pas que cela les regarde, il m'ont arraché une partie de ma liberté, mais il ne contrôleront pas mes pensées, ni mes sentiments. Je me ferais tout pour rester à vos côtés, je vous en fait la promesse. Il ne m'auront pas une seconde fois, ni moi, ni vous, ni mes pokémons. Vous trouvez ? Cela vous donnait un côté protecteur, mais c'est comme vous ... euh ... tu veux.

Elle lui accordait un de ses sourires lumineux qu'elle seule maitrisait si bien, le bleu de ses yeux étincelait comme l'eau d'une rivière qui courre. La chevelure dansait tel un champ de blé sous la force du vent. Sa tête était toujours posée sur les cuisses du jeune homme, profitant de cet instant pour se reposer en sécurité.

- Merci Matsuo ça me fait plaisir que tu me le promettes aussi. Rien n'est jamais gagné, mais ça en vaudra la peine. Survivre n'est pas vivre, mais je ne vous lâcherais pas. Je suppose que c'est moi la raison, je ne sais pas quoi dire Matsuo, je suis tellement heureux...
- Je survis mais maintenant grâce à vous je vis, et jamais je n'aurais pensé être aussi vivante après tous ces évènements. Je serais là pour vous à chaque instant bon comme mauvais, et je ... j'aimerais pouvoir vous ... te rendre heureux et ce dès maintenant.

Augias, mine de rien, approchait son visage de celui de la jeune femme, puis déposait un baiser léger sur front. Le coeur de Matsuo battait à tout rompre, elle ne savait plus quoi faire. Elle approchait alors son visage de celui du jeune dresseur, les lèvres tremblante, mais piquée par sa timidité elle fourra rapidement sa tête dans le creux de sa nuque.

"Je ne pense pas que cela les regarde, il m'ont arraché une partie de ma liberté, mais il ne contrôleront pas mes pensées, ni mes sentiments. Je me ferais tout pour rester à vos côtés, je vous en fait la promesse. Il ne m'auront pas une seconde fois, ni moi, ni vous, ni mes pokémons. Vous trouvez ? Cela vous donnait un côté protecteur, mais c'est comme vous ... euh ... tu veux."

"Je l'espère, et de toute façon je le les laisserais pas se mettre de nouveau sur ta route, ni sur la notre. Je préfère que vous voyez en moi l'ami plutôt que le protecteur, même si je remplis les deux rôles."

Matsuo lui fit un ravissant sourire. Un rayon de soleil perçait à travers les arbres et s'arrêta sur le visage de la jeune fille. On y voyait maintenant des yeux d'un bleu éclatant. Même les plus belles mers du monde n'était pas aussi joli. Puis une légère brise arriva, accompagnant le soleil. Ce fut ses cheveux qu'Augias regarda maintenant. Sa longue chevelure s'envolait avec le vent et fouettait son visage. Augias en profita, il avait rarement de choses aussi belles.

"Je survis mais maintenant grâce à vous je vis, et jamais je n'aurais pensé être aussi vivante après tous ces évènements. Je serais là pour vous à chaque instant bon comme mauvais, et je ... j'aimerais pouvoir vous ... te rendre heureux et ce dès maintenant."

"Tu es bel et bien vivante et tu le resteras, c'est sûr et certain. Matsuo... Je le suis déjà, tu ne pas me rendre plus heureux que je ne le suis déjà, le professeur Chen a réalisé mon rêve, et toi tu le fais devenir encore mieux. Je ne pourrais jamais assez te remercier.

Après qu'Augias déposa un baiser sur le front de Matsuo celle-ci releva la tête. Elle se rapprochait lentement du visage du jeune homme, ce dernier ne savait pas quoi faire, il ne pensait pas qu'elle allait l'embrasser si vite. Puis d'un seul coup elle fourra sa tête dans la nuque d'Augias. Pendant quelques secondes il ne bougea pas, puis il reprit ses esprits et comprit qu'elle n'avait pas osé. D'un côté il fut rassuré car il ne savait pas vraiment embrasser... Il serra Matsuo dans ses bras pour la réconforter...

- Je l'espère, et de toute façon je le les laisserais pas se mettre de nouveau sur ta route, ni sur la notre. Je préfère que vous voyez en moi l'ami plutôt que le protecteur, même si je remplis les deux rôles.
- Je te remercie, j'apprécie que tu me dis, grâce à toi je me sens moins en danger, je ne les crains plus et je me sens capable de vivre de la sorte avec cette salperie. Je ne vois pas en vous un ami mais beaucoup plus que ça, j'espère que vous comprenez ce que j'entends par là. Tu n'es pas non plus mon protecteur, tu es quelqu'un à part entière à mes yeux !

Elle laissait un instant s'écouler, un petit instant, la tête toujours fourrée dans sa nuque, rongée par la timidité, la peur. Elle n'était plus aussi confiante, elle n'était plus celle qui séduisait avec grâce, elle était une fille banale, un peu moins bien que les autres. Elle n'était plus aussi joli, son teint s'étant terni par les larmes, elle ne faisait plus non plus attention à ses tenues, celles qu'elle privilégiait tant.

Cependant, elle venait de faire une rencontre qui bouleverserait sa vie et une énième fois, celle-ci la remerciait chaleureusement. Elle prit alors son courage à deux mains, sortant sa tête de sa cachette, et elle déposait un doux baiser dans le coin des lèvres d'Augias. Rougissante elle fourrait de nouveau sa visage dans son cocon, mais cette fois-ci, elle le serrait de toutes ses forces, peur qu'il ne la regarde et ne s'enfuit.

"Je te remercie, j'apprécie que tu me dis, grâce à toi je me sens moins en danger, je ne les crains plus et je me sens capable de vivre de la sorte avec cette saloperie. Je ne vois pas en vous un ami mais beaucoup plus que ça, j'espère que vous comprenez ce que j'entends par là. Tu n'es pas non plus mon protecteur, tu es quelqu'un à part entière à mes yeux !"

"Cette saloperie comme tu dis, va disparaître un jour, je te le garantis ! Je vois ce que tu veux dire, c'est pareil pour moi Matsuo..."

Plus il parlait à cette fille, plus les sentiments montaient en lui, il n'avait jamais vécu cela. Même s'il ne le montrait pas il avait peur de ce qui allait se passer. Il avait peur qu'ils soient séparer, et ça il ne le souhaitait pour rien au monde.

*J'ai des sentiments pour Matsuo, mais je ne sais pas si c'est de l'amour. Rah je n'arrête pas de penser à elle, il faut que j'arrête !*

Mais au même moment la tête de Matsuo sortit de sa nuque et elle déposa un baiser au coin des lèvres d'Augias. Il n'en revenait pas, il était figé. Heureusement pour lui elle baissa à nouveau sa tête. Il revient à lui et sentit Matsuo le serrer de nouveau. Il ne renforça pas l'étreinte, mais passa sa main dans les cheveux de Matsuo et lui fit quelque baiser sur la tête...

- Cette saloperie comme tu dis, va disparaître un jour, je te le garantis ! Je vois ce que tu veux dire, c'est pareil pour moi Matsuo...
- Ce n'est pas possible, tu le sais très bien. Ils ne me l'accorderont jamais, ils ont trop peur pour leur peau, peur que je les dénonce. Je me dis que finalement c'est de ma faute, je n'aurais pas du fourrer mon nez là où il ne fallait pas. Et alors, tout ça ne serait jamais arrivé et je n'en serais pas là.

Le jeune homme ne répondit pas au baiser de la jeune femme, il ne répondit pas non plus à son étreinte. Il se contentait de rester immobile. Le silence régnait désormais entre les deux jeunes gens. C'est alors que Augias passait tendrement sa main dans les cheveux de la jeune femme, jouant avec ses boucles et déposant des baisers furtifs, mais délicats dans sa chevelure. La jeune femme voulait profiter de cet instant comme jamais, mais elle ne pouvait plus contenir ses mots.

- Grâce à toi, ma vie à changer, tu l'as illuminée, je ne veux pas être séparée de toi. Je n'ai jamais ressenti quelque chose d'aussi fort pour quelqu'un, et ... j'espère que ce que je ressens pour toi est réciproque. J'aimerais qu'il en soit ainsi et ce plus que tout !

"Ce n'est pas possible, tu le sais très bien. Ils ne me l'accorderont jamais, ils ont trop peur pour leur peau, peur que je les dénonce. Je me dis que finalement c'est de ma faute, je n'aurais pas du fourrer mon nez là où il ne fallait pas. Et alors, tout ça ne serait jamais arrivé et je n'en serais pas là."

"Je te garantis qu'on trouvera un moyen, jamais je n'abandonnerais, je veux que tu sois heureuse et en bonne santé ! Peut-être que c'est de ta faute, je n'en sais rien mais je sais que tu ne le mérites pas."

Matsuo ne dit rien quand Augias passa la main dans ses cheveux, mais elle décida de parler d'un seul coup, et elle dit quelque chose qu'Augias souhaitait entendre :

"Grâce à toi, ma vie à changer, tu l'as illuminée, je ne veux pas être séparée de toi. Je n'ai jamais ressenti quelque chose d'aussi fort pour quelqu'un, et ... j'espère que ce que je ressens pour toi est réciproque. J'aime qu'il en soit ainsi et ce plus que tout !"

"Tu... tu dis exactement ce que je pense, c'est merveilleux. Bien sur que c'est réciproque Matsuo."

Augias prit la tête de Matsuo et la rapprocha de son torse. Il posa ensuite sa tête contre celle de la jeune fille et ne bougea plus, savourant ce moment. Il décida de s'allonger avec elle, toujours dans ses bras, puis posa ses lèvres contre les siennes. Il les retira et sourit à Matsuo. A présent lui aussi rougissait, mais il s'en fichait il était avec la personne qu'il souhaitait, une personne merveilleuse... Matsuo Kumiko.

Les mots prononcés par Augias avaient laissé la jeune femme bouche bée. Elle laissait maladroite couler un larme de joie, heureuse que ses sentiments soient partagés lors que celui-ci lui prit doucement la tête et collait celle-ci contre son torse. Ce contact était un délice aux yeux de la jeune fille, respirant le parfum de l'être aimé. Cependant, celui-ci vint coller sa tête contre la sienne la regardant droit dans les yeux. Il basculait ensuite en arrière, la maintenant toujours contre lui, tel un protecteur.

Tout basculait lorsque qu'il entreprit de l'embrasser, ce fut trop court pour la jeune femme, mais celle-ci n'osait en demander plus. Il lui souriait, ce sourire qui illuminait tant sa journée. Une couleur rosée fit lentement son apparition sur ses joues, il rougissait.

Un bruit se fit entendre, puis des bruits de pas de course, la jeune femme se redressait vivement, attrapant la main d'Augias pour l'aider lui aussi.

"Attention, des pokémons sauvages nous attaque !"

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[Privé + Augias Linford]Un hasard pas comme les autres !

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